En effet, celui-ci prétexte que les modalités de la convocation de l’Assemblée Générale du 23 juin seraient non conformes à nos Constitutions et que la participation était faible.
C’est la faire preuve d’une mauvaise foi qui n’a pas de limite mais que nos Frères apprécieront à sa juste valeur.
Monsieur Bal., dans son communiqué, ne va pas jusqu’à affirmer explicitement que le vote n’est pas valable, mais il l’insinue implicitement par sa formulation.
Est-t-il utile de rappeler le fond ?
1) Que le Tribunal de Grande Instance de Paris avait dans son jugement de décembre 2010, ordonné d’organier dans les plus brefs délais et conformément à nos Statuts, une nouvelle Assemblée Générale dont l'ordre du jour comprendra, outre les résolutions d’ordre financier :
la révocation du Président de l'Association et des membres du Conseil d'Administration.
2) Que si la participation est faible, c’est que Monsieur Stifani avec l’aide de Madame Legrand, a mis en œuvre en toute impunité une campagne de purges systématiques et que des centaines de loges toujours au sein de la GLNF sont empêchées de voter. (voire prochain article)
3) Devant les persécutions et les dérives orchestrées par la gouvernance, une scission au sein de la GLNF s’est produite, plusieurs centaines de loges et quelques 7.300 Frères étant partis créer la GLAMF, et de très nombreux autres rejoignant d’autres obédience, ou se mettant carrément en sommeil.
4) Si Messieurs Stifani et Bal. considéraient que la convocation de cette A.G. ne correspondait pas à nos statuts, ils auraient pu – ou du – engager une procédure judiciaire pour l’empêcher. Ne l’ayant pas fait – eux qui en sont pourtant si friands – ils entérinent ipso facto sa conformité.
En martelant que le Mandat de Monsieur Stifani expire en décembre 2012, Jean-Michel Bal confirme pour ceux qui doutaient, que l’égo de l’Ex passera envers et contre tous, au risque de faire définitivement sombrer la GLNF avec lui, ce qu’il avait d’ailleurs proclamé dans le passé : « La GLNF ne me survivra pas !»
Voici une promesse qu’il s’acharne donc de tenir.
Le vote des Frères qui ont montré vouloir à tous prix sauver la GLNF des dangers qui la guette, sera donc, avec la garantie institutionnelle qu’apporte Monsieur Baloup, complètement foulé aux pieds, et il est ainsi affirmé qu’une fois de plus, il n’en sera pas tenu compte.
Dernière observation, le contenu et la forme laconique du communiqué, indique bien que la réunion du « Grand Conseil » à été orageuse…