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24 mars 2013 7 24 /03 /mars /2013 23:31

Cette semaine, chacun d’entre nous pourra célébrer les quatrièmes Pâques depuis la naissance du Myosotis du Dauphiné-Savoie, c’est-à-dire depuis qu’une crise abominable est venue faire vaciller la GLNF.

Nos Frères chrétiens, à qui je souhaite de joyeuses Pâques, célèbreront à partir de dimanche prochain 31 mars 2013, le «passage» de la mort à la vie de Jésus le Nazaréen, la Passion et la Résurrection de l’Agnus Dei.

Mais, si j’ai bien saisi la substance de cette fête dans sa version chrétienne, elle est multiple : Elle commémore à la fois la sortie d'Égypte, l'institution eucharistique lors du repas de la Pâque, la crucifixion et son repos au tombeau durant trois jours, la résurrection, passage de la mort à la vie, et la nouvelle création inaugurée le troisième jour.

Elle est aussi pour le chrétien sa propre fête, celle de sa libération par rapport au péché celle de sa «renaissance», de sa «nouvelle vie» en Dieu, grâce à Jésus…

Je m’en tiendrais là, n’étant pas qualifié, loin de là, pour aller plus loin.

Pour nos Frères issus du Peuple du Livre, dès lundi soir 25 mars 2013 à la tombée du jour, commencera la Pâques juive célébrant la sortie d’Egypte, acte fondateur de leur Peuple-Nation donnant l’exemple d’esclaves ayant le courage de briser les chaînes de l’esclavage pour conquérir non pas seulement leur liberté matérielle, mais aussi et surtout leur liberté spirituelle.

A n’en point douter, le destin de l’humanité entière en a été changé.

Si ce récit est aujourd’hui encore vécu par chaque hébreu sur terre comme « s’il avait été lui-même libéré d’Egypte », il est aussi étudié par toutes les religions monothéistes et même par certaines juridictions maçonniques qui viennent chacune lui apporter leur sens propre.

Ce n’est pas par hasard : tout simplement, il contient tous les secrets et tous les mécanismes de la pensée, et surtout de son renouvellement.

Course vers la liberté, il n’est pas sans réminiscences avec notre propre histoire, celle de la GLNF, et des évènements que nous avons vécus récemment.

A l’occasion de Pâques, les hébreux cherchent à éliminer de leur possession, tout «Hametz », c’est-à-dire tout levain, tout ce qui n’est pas «Kasher» pour la Pâques, c.à.d. pas pur pour cette fête, ce qui symboliquement signifie qu’ils cherchent à extirper tout ce qui n’est pas raffiné, et qui n’est pas bon… Il en va – symboliquement – de même à la GLNF, et nous sommes  - ou devrions être – plongés dans une démarche de retour sur nous-mêmes visant à bien comprendre nos erreurs, et à chercher comment à les réparer, afin de parvenir à une réelle réconciliation et à une réelle refondation de notre obédience sur des bases solides.

Dans cet esprit, il nous faudrait aussi changer et remplacer tout ce qui rappelle l’ancienne et catastrophique gouvernance, qui nous a plongée sous un réel joug, et dont nous nous sommes affranchis par la main puissante du G.’.A.’.D.’.L.’.U.’..

Bien-sûr, quelques novices souhaitent que ces choses aillent vite. Mais le récit de la Sortie d’Egypte dit lui-même : « Kama maâlot tovot lamaqom âlénou» (Combien de degrés bons à D.ieu sur nous)

Cette observation indique que la libération se fait progressivement, contrairement à notre aspiration à ce que tout se règle d’un coup de baguette magique : chaque fois que nous avons cette aspiration simpliste, nous tombons en fait dans l'infantilisme et la naïveté.

Comme pour l’Initiation, le G.’.A.’.D.’.L.’.U.’. ne libère que par étapes, comportant chaque fois une petite amélioration et encore beaucoup d'insatisfactions et de difficultés.

L’Initié sait que cela est signe de la présence divine.

L’originalité du récit Traditionnel de la Sortie d’Egypte, réside dans le fait qu’il commence par quatre questions posées par le plus jeune enfant à tous les convives réunis : «Ma nichtana» (qu’y a-t-il de changé en cette nuit...?)

C'est une suite de 4 questions qui veulent mettre en évidence les particularités de cette soirée. Nous remarquons déjà que de nombreux « acteurs » de cette soirée apparaîtront par groupes de 4 (4 coupes, 4 sages, 4 questions, 4 fils...) ; il faut se demander pourquoi ;  qui pose ces questions, à qui, pourquoi ? J’y reviendrai plus tard.

Il s’agit là de l’un des « secrets fondamentaux » du judaïsme : on apprend à poser des questions, à poser les bonnes questions, dès le plus jeune âge…Et le plus sage, le chef de famille, va lui répondre par un récit littéralement initiatique, dont strictement personne n’est exonéré : «même si nous sommes tous savants et intelligents, même si nous connaissons la Torah, cela reste une obligation de raconter la Sortie d'Egypte».

C'est dire que certains événements sont à même de bouleverser les cadres de la pensée la plus solide, la plus sûre d'elle-même. Il y a des expériences pré- ou extra-philosophiques qui ébranlent la raison ou la science la plus affermie. Commenter le texte, l’interpréter et le réinterpréter, le rajeuni sans cesse…

Dans le monde juif, tout enfant de 7 ans et plus (et parfois moins) connait la signification du mot hébreu qui désigne l’Egypte, « Mitzraïm » dont tous les commentateurs on pratiqué l’exégèse.

Les citer, est donc à la portée du premier venu, encore faut-il pouvoir en comprendre le sens et la portée.

Il n’est pas inintéressant de noter qu’il est établi que l’Egypte dans laquelle les hébreux étaient asservis était au sommet de la culture, de la richesse, de l'intelligence, de la science, du développement philosophique et politique.

Elle avait le niveau le plus élevé de tous les peuples non seulement sur la terre mais aussi dans les cieux (enseignement du Zohar). Voilà pourquoi le Pharaon, était entouré de sages, devins, sorciers car ils avaient de grandes connaissances sur les forces gouvernant le monde et les astres.

Mais, en même temps, tout ce bien était utilisé pour fausser la vérité des choses et ne pas leur permettre d'aller vraiment dans le sens de la vie. C'est ce que l'on appelle l'impureté ou «toum’a », dans la conception du V.’.L.’.S.’..

Nous ne sommes d’ailleurs pas exonérés de nous poser ces mêmes questions sur les pouvoirs dominants dans le monde actuel.

Or, tous les exils et persécutions sont appelés du nom de l’Égypte. Le nom de «Mitsraïm»

(Égypte en hébreu) lui-même signifie « limites » «étroitesses» « étranglement » et « contraintes ».

Chaque fois que nous sommes limités – que ce soit par une puissance étrangère, par un environnement hostile ou simplement étranger, par la corporalité de notre être, la subjectivité de notre esprit ou les défauts de notre caractère – nous sommes en Mitsraïm. Si la liberté signifie « absence » de contraintes, Mitsraïm est la limitation de l’homme à tous les niveaux : physique, émotionnel, intellectuel, moral ou spirituel.

A cela s’ajoutait l’exil parachevant l’emprisonnement du corps et l’oppression de l’esprit,

Une autre caractéristique de la terre de Mitsraïm (Egypte) : l'esclavage obligatoire.

Ce système apparemment supérieur avait comme stratégie que personne ne pouvait en sortir : c'est la prison culturelle dorée et absolue.

Osons nous poser des questions sur ce qui caractérise les pouvoirs dominants de notre civilisation moderne occidentale : idéologie très précise de supériorité basée sur la direction économique, la puissance des médias qui créent des esclaves des besoins et installés dans la prison de leur fauteuil devant la télévision, la création obligatoire de besoins (voiture, ordinateur, portable, tablette, etc.) transformant l'individu en consommateur effréné. On l'exprime en disant que l'Egypte possédait les plus grands magiciens du monde. On peut s’interroger sur les parallèles contemporains…

C’est dans ce contexte qu’intervient et se comprend le sens de la lutte de Moïse, prince d’Egypte, membre de l’aristocratie et acteur important aux côtés du Pharaon. Cet aspect permet aussi de mieux comprendre ce qu’a été le combat de certains durant la crise de la GLNF (pardon pour ce parallèle, mais il justifie la raison pour laquelle je m’attarde sur ce récit).

Le propre des forces de «toum’a»  de l’impureté, est de n'avoir en soi aucune force. Elles se déguisent en bien, en belles idéologies culturelles, politiques ou religieuses pour capter la force des idéologies du bien et les travestir de l'intérieur. Le mal a besoin du bien pour se développer. Inversement, Moïse a investi ce monde égyptien de l'intérieur pour tenter de le retourner. Il n'est pas parvenu à réaliser ce qu'il a tenté : sauver les Egyptiens et le Pharaon de cette perversion, et il a du sortir finalement avec son seul peuple, montrant que le pouvoir du plus fort peut, et à été vaincu.

A cet égard, plusieurs Frères se sont émus de la publication par un blasphémateur d’un texte se voulant explicatif sur le même sujet. En effet, ce message publié le jour du shabbat résume à lui seul sa pureté et quel peut être la portée de ses « prières ».

Pourtant, son auteur a sa place dans le récit…

Plus haut, j’évoquais le chiffre 4 omniprésent dans la sortie d’Egypte en expliquant le sens des 4 questions, et parmi les réponses, figure une métaphore mettant en scène 4 fils réunis autour de la table familiale : le sage, le mauvais, le simple, et celui qui ne sait pas questionner…

Parmi ceux-ci, l’un interpelle : qu’a donc à faire le fils mauvais autour de la table, puisqu’il est identifié ?

Le texte qui le concerne est celui-ci. 

« Le mauvais, que dit-il ? Quel est ce « âvoda » (service ) pour vous (Nombres 12, 26). Pour vous, et pas pour lui. Et puisqu'il s'exclut lui-même de la collectivité, il détruit l'essentiel. Et alors toi émousse-lui ses dents et dis-lui : c'est pour cela que D.ieu a agi pour moi quand je sortis de l'Egypte (Nombres 13, 8), moi et pas lui. Et s'il avait été là-bas, il n'aurait pas été sauvé. »

 Il faut essayer d'analyser chacune des nuances spéciales de ce texte pour rencontrer les questions et les messages qu'il  veut nous transmettre.

 Pourquoi vient-il en seconde position, juste après le haham, le sage .

 Pourquoi est-il classé comme mauvais alors qu'il demande comme le sage « pour vous » ?

 Pourquoi estime-t-on qu'il s'exclut alors qu'on n'a pas dit cela du sage ?

 Pourquoi lui répondre si durement au lieu de l'éduquer par la douceur ?

 Pourquoi lui dire des choses si extrêmes et révoltantes ?

 Pourquoi s'en prendre à ses dents ?

 N'oublions pas qu'il fait partie du peuple et qu'il doit être sauvé - et le sera - car les quatre enfants forment un seul corps ; on ne dit pas qu'il est condamné mais on lui dit seulement : « si tu avais été ».

Or, le mauvais, le «rachâ », est instruit et pose des questions intelligentes...

Son discours attaque le judaïsme dans son apparence, sans avoir l’air d’y toucher : c'est un service et un esclavage (âvoda), alors que la religion devrait être affaire de cœur. Derrière sa question, il attaque et falsifie : S'il y a ainsi des ordres impératifs et absurdes, c'est pour vous, pas pour moi, pour vous les sans cœur et les inintelligents.

Nous découvrons ainsi un prototype qui existe, dénigrant, autodestructeur, méprisant son héritage, le falsifiant et le condamnant ensuite au nom de l'intelligence et d'une belle philosophie ; c’est ainsi qu’il est capable de dire « m’emm. pas avec ces conneries »…

Autre caractéristique, il méprise quiconque le rappelle à ses devoirs.

C’est pour cela qu’il lui est répondu: « c'est pour cela », oui tu as raison c'est bien pour cela, ce service concret dans la réalité que nous avons été sauvés, c'est bien pour toutes ces choses concrètes que nous sommes falsifiés et persécutés mais aussi sauvés, et comme cela se passait dans la réalité et pas seulement dans la tête ni dans le cœur, il n'aurait pas été sauvé dans la réalité.

Il en ressort que sa position qui se veut supérieure ne conduit qu'à la mort, et que des gens comme lui, qui s'estiment en avance ne font que retarder le salut. Ceci est dit depuis des millénaires…

Pourtant, le récit raconte qu’il a posé presque la même question que le Sage, le «Haham» !

Or, si le contenu est apparemment le même, il y a une différence capitale : il ne dit pas «notre Dieu». Vérifiez ses textes. Il voit la foi de ses pères comme un code social, il élimine D-ieu, il est lui le pouvoir et l'intelligence, c'est un athée sûr de lui et qui affirme qu'il élimine Dieu. C'est en cela qu'il arrache l'essentiel. Au lieu d'être une pensée éclairée, il se définit lui-même comme étant la lumière, cela c'est l'obscurité et la non-vie : en effet, dans Genèse 1,5 quand Eloqim crée le jour Il est nommé, mais quand il crée la nuit Il ne l'est pas. C'est cela qui différencie le mauvais du sage.

Il est important de noter que des attitudes que l'on pourrait estimer modernes étaient déjà fréquentes il y a quelques millénaires au point que l'on ait éprouvé la nécessité de les introduire dans le récit de la sortie d’Egypte…

Enfin, ce court texte s’achève par une injonction : « haké ét chinav » (Emousse-lui ses dents), expression qui doit se comprendre par une  tâche éducative que nous avons à accomplir envers ceux qui agissent comme le rachâ (mauvais) parmi nous (ce qui veut dire, évidemment, envers nous même quand nous dépistons ces attitudes de pensée ou de réaction en nous). Non pas les exclure, non pas les qualifier de noms d'oiseaux, même s'ils traitent de « fanatiques » ceux qui suivent la Règle. Mais adoucir l'agressivité et la profanation.

Relevons encore, car c’est important que le texte nous dit que c'est être rachâ (mauvais), mais il n'y est pas dit à quelqu'un : « tu es un rachâ ». La nuance est capitale. Au contraire, la réponse réintègre ce rachâ dans l'épopée collective, à travers la réponse donnée.

Prenons maintenant le sens non plus au niveau de l'histoire mais dans les formes linguistiques des lettres, méthode de tous ceux qui savent étudier le V.’.L.’.S.’. : Un commentateur (Hida) en cite un autre pour faire remarquer que les deux mots que nous connaissons du V.’.L.’.S.’. . NaHache (serpent) et  SaTan (le provocateur) comportent au cœur de leur être, dans la lettre centrale le mot péché « HT » (hét : H dans le mot serpent et T dans le mot Satan) ; et chacune des lettres qui restent dans leurs deux mots forment le mot "dent" chén ; donc 2 fois, dent et dent ; voilà pourquoi il est dit : « agace-lui ses dents ». 

Donc, quelqu'un  qui parle ainsi (l'autre, ou moi-même) est alors tout entier dent-péché-serpent et satan. Et il a besoin de quelqu'un qui soit capable de lui adoucir les dents…

Nous voyons donc que si nous sommes capables d’identifier et de qualifier la « brebis galeuse », elle nous interpelle cependant sur nos propres failles, et elle ne peut être totalement rejetée. Pourquoi ce constat déconcertant ?

Peut-être tout simplement parce que tout l’objectif de l’épopée du V.’.L.’.S.’. a pour objectif de construire la fraternité ? De construire aussi l’être-frère ?

Une piste : Le « Mishkan » (le Tabernacle), l'unité de l'ensemble, a été détruit à cause de la haine gratuite entre les individus, les uns envers les autres, et entre les institutions, les unes envers les autres. Il ne peut être reconstruit que par l'amour gratuit ; l'amour gratuit, cela veut dire être capable d'aimer même celui qui n'est pas aimable.

En revanche, la relation éthique est essentiellement réciproque. Etablir la fraternité est une tâche commune. La notion de responsabilité n'est pas décrite comme responsabilité du Moi envers Autrui. La responsabilité individuelle s'insère toujours dans celle de la collectivité, face à ce qu'ils doivent réaliser. Chacun à sa place peut être investi d'obligations spécifiques, mais la tâche reste collective.

En cette veille de célébration, c’est ce dernier point que je voudrais mettre en exergue, dans la perspective du discours tenu par le Grand Maître, à l’occasion de son Installation, car c’est à mon sens la pierre angulaire de notre reconstruction matérielle et spirituelle :

«Seul l’Amour fraternel peut nous rendre le bonheur.

Vous venez de déposer entre mes mains ce que nous avons de plus fort et de plus fragile, de plus sacré : notre Tradition qui vit en chacun de nous, qui nous unit au-delà de nos différences.

Celle-ci contient la loi d’Amour, dictée par la Règle, « l’engagement à mettre en pratique un idéal de Paix, d’Amour et de Fraternité ».

Il nous faut maîtriser nos égoïsmes, notre intolérance, les jugements hâtifs et souvent mal fondés, nos ressentiments profanes, l’orgueil qui pousse aux opinions faciles, pour tracer ensemble la voie lumineuse qui nous élèvera vers le Bien.

Je réitère devant vous ma profession de foi.

J’ai la certitude que les jours difficiles que nous avons vécus vont nous rapprocher, nous souder, dans une chaîne d’union nouvelle, plus forte, plus chaleureuse encore.

Nous y accueillerons avec joie ceux qui nous ont quittés honorablement et qui exprimeront le souhait de nous rejoindre.

Les rituels évoquent cet instant précieux : « Que nos cœurs se rapprochent en même temps que nos mains, que l’Amour Fraternel unisse tous les maillons de cette chaîne formée librement par nous ».

N’oublions jamais que, dans les heures les plus difficiles, celles de la division des Frères, des vertus essentielles nous ont permis de survivre et de triompher de l’épreuve : l’Espérance et la Foi. Gardons ces vertus vivantes.

Cet élan du cœur, du dernier apprenti au Grand-Maître, nous donnera la force de construire

l’indestructible.»

Il est donc maintenant temps de refermer l’apparente thèse… si chacun des lecteurs de cet éditorial est capable de lire et de comprendre ces lignes avec son âme et son cœur de F.’.M.’. et de comprendre que des Frères de la GLNF actuelle et de hier  sont désireux de partager la Fraternité au sein de notre obédience, et qu’il est capable d’ouvrir son cœur à ses Frères, et d’avoir comme devoir sacré – de plus imparti par le Grand Maître - de faire en sorte de le lui permettre, et de le lui faciliter, de là où il se trouve, alors, tous nous aurons accompli notre devoir vis-à-vis de la d’Amour citée plus haut…

 

 

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commentaires

J
MTCF Emmanuel,<br /> <br /> Avec un retard certain, je te souhaite néanmoins un excellent passage. Puisse cette nouvelle année ne pas être un chemin de croix tel que la vive les chrétiens à cette période.<br /> <br /> BF
Répondre
E
<br /> <br /> Bonjour Mon Bien Aimé Frère<br /> JMB,<br /> <br /> <br /> Merci beaucoup et Joyeuses Pâques à toi<br /> aussi…<br /> <br /> <br /> L’année qui a commencée semble bien plus<br /> porteuse d’espérances que la précédente, faisons en sorte qu’elle puisse s’achever par de meilleures nouvelles encore…<br /> <br /> <br /> Très fraternellement à<br /> toi.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
P
TCF Emmanuel,<br /> Je te souhaites ainsi qu'a tous nos FF de tres bonnes fetes de Paques, en esperant que la periode M. qui s'annonce soit pour nous tous une periode de Bonheur, quelle que soit les differents en<br /> France nous souhaitons aux USA qu'ils s'appaisent.<br /> Philippe
Répondre
E
<br /> <br /> Merci Bien Aimé Frère Philippe pour ces bons<br /> vœux que je souhaite partager avec toi.<br /> <br /> <br /> Comme tu peux le voir sur ce blog, il n’y a<br /> plus de polémique, que le travail de reconstruction et de réconciliation. Les mains sont tendues, ceux qui voudront bien les saisir seront accueillis avec respect et<br /> fraternité.<br /> <br /> <br /> Quand aux autres…qu’ils restent où ils sont<br /> cela vaut mieux.<br /> <br /> <br /> Joyeuses fêtes à toi et à toute ta<br /> famille.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
C
Cher Emmanuel et chers Frères, en communion fraternelle de prière avec toi et les tiens qui vous apprêtez à la fête de Pessah, et toute cette semaine sainte qui mène, pour les chrétiens, de la<br /> contradiction de la mort à l'espérance de la vie éternelle, par la résurection du fils de l'homme. La foi, l'espérance et surtout la charité sont les forces qui nous libérent de l'esclavage, contre<br /> les forces du mal, de l'apathie et de la mort. En avant pour une monde et une société plus fraternelle et plus juste, le passage est rude mais il ne faut pas baisser les bras. Nous avons toujours<br /> besoin d'esperance et de nouveau de faire alliance avec le créateur et avec tous les hommes de bonne volonté. La plus belle satisfaction d'une vie est celle de pouvoir éveiller la curiosité et la<br /> sagesse, en particulier celle de ses enfants. Bon repas de Seder et merci pour ton article. Je t'embrasse, Christophe.
Répondre
E
<br /> <br /> Mon Bien Aimé Frère, V.’.F.’.<br /> Christophe,<br /> <br /> <br /> Merci, merci pour ces lignes que tu nous<br /> adresse, et qui sont à mes yeux, l’image de ce que doit redevenir la GLNF : fraternité, liberté, espérance, justice, A.’.L.’.G.’.D.’.G.’.A.’.D.’.L.’.U.’. !<br /> <br /> <br /> J’espère tant pouvoir t’accueillir à Menorah<br /> n°526 au mois d’avril prochain avec les Frères qui te sont proches…<br /> <br /> <br /> Joyeuses Pâques à toi et aux tiens, très, très<br /> fraternellement à toi.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />
P
Bonjour MBA F.'. Emmanuel,<br /> <br /> Petit trait d’humour,<br /> Je pensai qu’il fallait lui émousser les dents car le « mauvais » a de l’ambition et donc les dents longues ! dents qui à force à force d'être longues, 'rayent le parquet' ou 'arrachent la<br /> moquette'.<br /> <br /> <br /> Joyeuse Pâques<br /> Tribiz Frat.’.<br /> Pavaho
Répondre
E
<br /> <br /> Bonjour Mon Bien Aimé Frère<br /> Pavaho,<br /> <br /> <br /> Humour pour humour, j’en ai vu un de cette<br /> sorte le faire au sens propre…ce qui ne l’a pas empêché de prendre d’importantes responsabilités dans une nouvelle obédience, lui qui proclamait qu’il «  ne luttait pas pour prendre le<br /> pouvoir, mais pour nous le rendre ! »…<br /> <br /> <br /> Bonnes fêtes de Pâques à toi et aux<br /> tiens !<br /> <br /> <br /> Très fraternellement à<br /> toi.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />

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  • : Le Myosotis du Dauphiné Savoie - Le Blog des Fidèles d'Amour -
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Par arrêt en date du 20 mai 2015, la cour d’appel de Paris a confirmé le jugement rendu le 6 mai 2014 par la chambre de la presse du tribunal de grande instance qui m'a déclaré coupable de diffamation publique envers François Stifani et Sébastien Dulac, à raison de la diffusion d’un message diffusé le 22 septembre 2010 sur le blog le myosotis-dauphine.savoie.over-blog.com. Je considère cet évènement comme l'attribution d'une Légion d'Honneur.

Merci aux soeurs et frères très nombreux qui m'ont soutenu dans ce combat de cinq années dont je m'honore, et dont je ne regrette rien.

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