On apprend que face aux nombreuses attaques que subit la GLNF, et particulièrement certaines de ses provinces, le Grand Maître a décidé de donner à celles-ci les moyens de se défendre.
En conséquence, la Province de Paris a été dotée du nécessaire, et son Grand Maître Provincial s’entraîne activement afin de défendre sa Province (voir photo ci-dessous) contre toute attaque d’où qu’elle vienne. Chacun est averti.
Par ailleurs, Monsieur et Madame Alain J., Monsieur et Madame François St. demandent de faire part du prochain mariage de leurs enfants. Naturellement le mariage aura lieu le 14... Juillet (en souvenir de l’acte majeur du mandat de Monsieur St.), les deux familles s’étant mis d’accord pour demander à une certaine Monique Leg. d’être témoin.
Loin d’êtres des fantômes, tous les membres du cabinet qui portait ce nom liront des extraits des écritures (il n’est pas précisé lesquelles). L'un d'entre eux fournira les cigares aux invités.
Le jeune couple résidera dans un appartement du côté de l’avenue de Wagram (17ème arrondissement de Paris), autrefois destiné à accueillir des séminaires, et réaménagé en différentes alcôves…
Selon nos informations il aurait été proposé aux heureux parents par un agent immobilier du nom de Christian Ma. autrefois(?) subordonné de Monsieur St.
L’appartement serait assuré par un certain Claude Se., qui ayant perdu la clientèle de la GLNF compense ainsi.
Le banquet du mariage sera préparé par Jean-Claude T. le traiteur bien connu du SCPLF, sur la chaude recommandation de celui-ci, exprimant ainsi sa reconnaissance après tant d’années de service. Le reportage photos, naturellement, serait assuré par François Koch, qui aurait obtenu l'exclusivité de la publication pour l'Express, damnant le pion à Gala et Point de Vue et Images du Monde.
Tout à sa joie, Alain J. aurait décidé de faire nommer son nouveau parent Grand Maître d’Honneur de son obédience. Le bénéficiaire, obtenant enfin le titre tant convoité, apporterait un cadeau de poids dans la corbeille de la mariée : il offrirait les effectifs (certes réduits) d’une obédience dite « indépendante » et « régulière »… De nos jours, les cabines téléphoniques étant devenues difficiles à trouver, cette organisation avait le plus grand mal à tenir ses assemblées, et donc l’obédience d’Alain J. serait une belle occasion de s’épanouir…
Tous nos vœux de bonheur, et à tous, une bonne journée de bonne humeur !