Voici le mail que j’ai reçu hier après midi, envoyé par Bertrand Hey. candidat ridicule et ridiculisé à la Grande Maîtrise de la GLNF (je n’ai pas corrigé la faute d’orthographe):
De : | |
Envoyé : | jeudi 29 mars 2012 14:30:21 |
À : |
|
Hier soir 28 mars, dans le cadre de ses rencontres dans les provinces, Bertrand HEYRAUD a réuni de très nombreux Frères sur Paris pour répondre aux questions concernant sa candidature à la Grande Maîtrise.
Dans une ambiance fraternelle avec de réels échanges, sans discours politique ni monologue, 5 messages forts se sont dégagés concernant le projet, les ambitions et les engagement de Bertrand HEYRAUD:
- "Je ne porte pas de faux nez, je ne compte pas drainer des voix dans le but d'en faire profiter quelque candidat que ce fût au moment opportun... Voilà pourquoi j'appelle au rassemblement le plus large dès le premier tour ! "
- "J'ai accéléré les rencontres internationales indispensables au retour de la reconnaissance de la GLNF, avec une équipe dédiée de Frères à mes côtés, en Angleterre, Etats-Unis, Espagne, Italie, Russie et Amérique du Sud. Les résultats sont très encourageants et dès que l'harmonie règnera à nouveau au sein de notre obédience, nous retrouverons notre place auprès des Grandes Loges Régulières."
- "Je défendrai jusqu'au bout ce qu'est la GLNF: une fraternité initiatique indivisible, hiérarchisée selon nos us et coutumes."
- "Puisque la question m'est posée, si je ne suis pas élu, je respecterai le choix du Souverain Grand Comité et de l'Assemblée et me soumettrai à l'autorité du Grand Maître choisi dans la poursuite de mon chemin maçonnique."
Après avoir lu ceci, je vous suggère de lire ce que le même diffusait (plus discrètement il est vrai) à destination des membres du Souverain Grand Comité, quelques heures plus tard, à 19:29, et mis en ligne par François Koch de l’hebdomadaire l’Express sur son blog La Lumière : http://blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon/wp-content/blogs.dir/693/files/2012/03/Heyraud-Retrait-29.09.2012.jpg
Michel Audiard avait décidément raison : « Les cons, ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. »…