Depuis belle lurette, la gouvernance de Monsieur Stifani nous a habitués à des comportements indignes et pour tout dire, a mon opinion, contraire à l’honneur maçonnique.
En effet, depuis maintenant des années, des actions qui sont autant de voies de fait et de scandales se succèdent malheureusement au sein de la GLNF, protégés, encouragés, voire demandés par celui qui a notre grande honte a été Grand Maître. Le Myosotis du Dauphiné-Savoie, mais aussi d’autres, se sont employés à vous tenir informés de ces comportements où l’arbitraire le dispute à l’inique.
Ainsi, s’est déroulé il y a quelques semaines, le 27 janvier dernier une résurgence des procès staliniens, qui a vu exécuter en quelques minutes, 5 des Grands Maîtres Provinciaux, membres du Groupe des 14. Parmi ceux-ci, celui qui fut le notre jusqu’il y a peu, le T.’.R.’.G.’.M.’.P.’. Z. H. dont la gestion de la Province en cette période de crise, s’est faite marquée par l’honneur, la loyauté et la rigueur que tous, au sein de la GLNF lui reconnaissent, et pour certains - dans la gouvernance - jalousent. Notons aussi que les autres GG.’.MM.’.PP.’. qui l’accompagnaient devant ces « sections spéciales » qui maintenant « jugent » en groupe tellement il y a de cas, n’avaient pas démérités non plus.
A cet égard, ils n’avaient pas besoin de se déplacer, le sens de la justice et de l’équité de la gouvernance étant connu au sein de la Franc-Maçonnerie universelle, les « sentences» étaient connues à l’avance, et les ordonnances de radiations sans doute déjà signées avant l’« audience ».
Bien entendu ces « juridictions d’exception » qui siègent pratiquement sans discontinuer n’ont aucune légitimité puisque nommées après la démission de Monsieur Stifani, et de toute manières jamais ratifiées ni installées. Personne ne prend garde à elles.
Dès lors, elles peuvent faire semblant et gesticuler, leurs décisions, ne peut qu’attirer un sourire navré, voire de mépris.
Pour être concret, s’il ne viendrait à l’idée de personne de reconnaître la moindre légitimité à ses pauvres qui se sont déshonorés maçonniquement à siéger dans ces instances, et encore moins de les inviter dans nos loges, par opposition, les Grands Maîtres Provinciaux qui y ont été convoqués sont considérés comme étant seuls légitimes à la tête de leurs Provinces (s’ils n’ont pas démissionnés), et sont régulièrement en visites dans les loges. A cet égard, s’ils lisent le présent article, qu’ils sachent qu’ils sont mes invités dans celles dont je suis membre, que ce soit dans la Province du Dauphiné-Savoie, ou celle de Paris…
Par contre, la composition de ces tribunaux spéciaux, est particulièrement intéressante et édifiante, pour rajouter dans l’ignoble.
En effet, le document suivant, reproduisant l’original dont je détiens une copie, est édifiant.
Outre l’utilisation d’une terminologie « spéciale » qui rappelle plus des temps pas si lointains qu’une Fraternité, il y a un nom qu’on retrouve parmi cette liste que je vous invite à mémoriser et à ne surtout jamais oublier :
GRANDE LOGE NATIONALE FRANCAISE
CONSEIL DE DISCIPLINE NATIONAL
Le 27 janvier 2012, à 14 heures, en l'Hôtel des Maçons, 12 rue Christine de Pisan à Paris,
17ème, le Conseil de Discipline National de la Grande Loge Nationale Française s'est réuni
pour examiner les poursuites engagées contre les T T.RR.FF. Z. H.
Alain BE., Philippe MA., Georges DU., Jacques ST..
La composition du Conseil de Discipline National était la suivante:
Président : T.R.D.G.M. Alain CA., membre de droit
Assesseurs : T.R.F. Bertrand HE. membre suppléant
T.R.F Guy BRU. Membre de droit, (n’ayant pas participé au délibéré du TRF Z. H.)
T.R.F. Jean-Paul DU., membre de droit, Rapporteur
T.R.F. Antoine JAN., membre de droit
T.R.F Jean Louis TRI., membre de droit
Les TT.RR.FF. Z.H., Alain BE., Philippe MA., George DU., et Jacques ST n’ont pas
comparu.
Les faits reprochés sont ceux mentionnés dans les convocations, à savoir :
Alors qu’il était révoqué de ses fonctions de Grande Maître Provincial, il a refusé cette décision pour des motifs illégitimes et est entré en dissidence.
Cette attitude rebelle génératrice de troubles au sein de l’Ordre constitue un manquement grave à l’éthique maçonnique et une violation caractérisée des serments qu’il a prêtés.
Il résulte de ces faits qu’il leur est donc reproché :
- d’avoir été ainsi parjure, eu égard au serment qu’il a prêté lors de son installation comme Grand Maître Provincial, puisqu’aux termes de celui-ci, il s’était engagée, sur son « honneur d’homme et de Franc-Maçon » :
« à continuer de se soumettre à la Constitution et aux Règlements Généraux de la GRANDE LOGE NATIONALE FRANCAISE…
à se soumettre au très respectable Grand Maître, Chef de l’Ordre maçonnique en France…auquel (il doit) l’hommage… »
- d’avoir violé les dispositions de l’article 16.1 du Règlement Intérieur :
« Tout membre de la Grande Loge Nationale Française dont le comportement serait contraire à l’éthique maçonnique s’expose à des mesures de suspension à titre conservatoire et/ou disciplinaire.
Il en serait ainsi notamment de tout manquement à l’honneur, à la délicatesse, à la probité ou à la dignité, ou trouble caractérisé au sein ou à l’extérieur de l’Association ou de nature à compromettre le fonctionnement harmonieux de l’Association ou à nuire à son image, ou de tout manquement au respect des Statuts et du Règlement Intérieur de la Grande Loge Nationale Française, ainsi que toute violation des serments et de tous agissements pouvant porter atteinte à la dignité de l’Association et de ses membres».
Les débats ont lieu en audience à huit clos, aucune demande de publicité n’ayant été formulée.
Après l’examen des dossiers et la présentation du rapport, le Président a ordonné la clôture des débats, et Le Conseil s’est alors retiré pour délibérer.
Le Conseil de Discipline National a délibéré, dans la composition sus rappelée, étant précisé que le Responsable du Greffe n’a pas pris part audit délibéré.
A la majorité de ses Membres, le Conseil de Discipline National a jugé que les intéressés ont, dès le 7 avril 2011, contresigné une pétition au terme de laquelle ils prennent acte de la démission de François STIFANI de son poste de Grand Maître et, constatant l’absence de Grand Maître, se placent sous l’autorité de l’administrateur judiciaire.
Par la suite, le 13 mai, dans une nouvelle pétition (signée des 15 GMP), ils se placent sous l’autorité ordinale du DGM J.C TA. et déclarent continuer à assurer la plénitude de leurs fonctions tout en invitant les Loges de l’Obédience à le soutenir.
Le 21 juin, ils cosignent une déclaration dans laquelle le groupe des « 15 GMP » déclare s’être réuni avec notamment les représentants de FMR et Myosotis et demande un certain nombre de mesures, parmi lesquelles la transmission des pouvoirs à un collège provisoire.
Le 28 juin, un document de la même nature est à nouveau diffusé par le groupe en question, co-signé par les intéressés.
Le Conseil constate que l’attitude rebelle dénoncée dans la citation est donc parfaitement caractérisée par l’ensemble de ces éléments.
Le Conseil considère ainsi, que compte tenu des serments prêtés et des hautes fonctions exercées par les frères objets de la présente audience, il n’existe aucune circonstance atténuante à leur comportement.
Le Conseil constate que l’attitude rebelle dénoncée dans la citation est donc parfaitement caractérisée par l’ensemble de ces éléments.
Le Conseil considère ainsi, que compte tenu des serments prêtés et des hautes fonctions exercées par les frères objets de la présente audience, il n’existe aucune circonstance atténuante à leur comportement.
En conséquence, statuant en dernier ressort, le Conseil de Discipline National décide que la sanction appropriée pour les faits dont les TT.RR.FF. Z.H., Alain BE., Philippe MA., George DU., et Jacques ST. se sont rendus coupables est la radiation définitive de la GRANDE LOGE NATIONALE FRANCAISE.
Cette décision sera notifiée aux TT.RR.FF. Z.H., Alain BE., Philippe MA., George DU., et Jacques ST. et au T.R.G.M. de la GRANDE LOGE NATIONALE FRANCAISE, par les soins du responsable du Greffe, dans un délai maximum de deux mois à compter du prononcé.
Fait à Paris, le 31 janvier 2012
Le Président du Conseil
TRF Alain Ca.
Vous aurez ainsi un aperçu de ce que peut signifier le mot « arbitraire »…
Mais dans la composition, il y a un nom, celui de Jean-Paul Du.
En effet, on le retrouve dans tous les « mauvais coups » !
Nous n’avons pas oublié que c’est lui qui avait été l’un des déclencheurs de la crise, alors que François Stifani l’avait envoyé en « mission de conciliation « dans la Province du Val-de-Loire. Sur place, il s’était livré à une vraie provocation, faisant croire avoir été molesté et séquestré.
Par ailleurs, je sais par F.S. lui-même, que constamment il a cherché à radicaliser son Maître et à l’empêcher d’être conciliant.
C’est lui, qui, dès le début de la crise, avec son comparse Sebdul, poussait aux suspensions et radiations multiples.
De fait, il a signé, en qualité de Grand Secrétaire, des suspensions à tour de bras de Frères ainsi sanctionnés pour délit d’opinion.
A ce titre, sa présence dans ce genre de tribunaux d’exception, n’a donc rien de surprenant…Pourtant…
Etant de tous les mauvais coups contre la GLNF, il fait aussi évidement partie du « Grand conseil », lequel est une gifle supplémentaire à nos Constitutions et Règlements.
Pourtant, sentant le vent tourner, et voulant être reconnu, ce personnage a eut un comportement ambigüe que je suis en mesure de révéler ayant recoupé cette information…
En effet, dès le début de la constitution et de l’action du Groupe des Grands Maîtres Provinciaux, Jean-Paul Du. les a contacté en demandant à faire partie de ce mouvement !!!
Il va sans dire, que compte-tenu du profil de l’individu, ils lui ont d’une seule voix fait comprendre qu’il ferait mieux de poursuivre son chemin, sans croiser le leur…
Fin de non-recevoir, donc.
Il n’en demeure pas moins vrai, que dans cette procédure, Monsieur DUP. a été juge et partie.
Sans rien dire à personne, il a jugé ceux auxquels il voulait s’associer, et qui l’ont réfuté.
Telle a été sa vengeance…Tout est dit (quoi que non, pas tout, j’en garde encore) et cela reste éloquent pour tous, quelles que soient les opinions des uns et des autres à son sujet…
Des exemples tels que celui-ci, il serait possible d’en citer à la pelle.
Je me contente d’en citer un :
On l’a sans doute vite oublié, mais le 14 avril 2011, paraissait la pétition suivante :
UN APPEL SOLENNEL DE GRANDS OFFICIERS
Nous, soussignés, Grands Officiers de la Grande Loge Nationale Française, déclarons apporter un soutien sans réserve aux Grands Maîtres Provinciaux signataires de la déclaration du 7 Avril 2011. Nous appelons tous les Frères de bonne volonté à rejoindre ce mouvement en adressant leur accord au TRF Serge CO., – co.serge@
T.R.F. Jean-Pierre AG - Ancien Grand Maître Provincial de Neustrie
T.R.F. Francis BA – Grand Inspecteur
T.R.F. Serge BA – Ancien Grand Maître Provincial de Lutèce
T.R.F. Jean-François BE– Ancien Grand Inspecteur – ancien Grand Trésorier
T.R.F. René BE– Ancien Grand Maître Provincial de Bourgogne-Franche-Comté
T.R.F. Jacques BU - Ancien Grand Maître Provincial de Maine-Atlantique
T.R.F. Bruno CH – Ancien Grand Maître Provincial de Val-de-Loire
T.R.F. Jean Pierre CL – Ancien Président Délégué de Hôpital Assistance International
R.F. Serge CO – Grand Expert – Assistant Grand Maître Provincial de Picardie-Plaine de France
T.R.F. Serge CO - Ancien Grand Maître Provincial d’Alsace – VM démissionnaire de la Loge Nationale d’Instruction « Jean de Turckheim » pour le R.E.R.
R.F. Patrick CO - Ancien Assistant Grand Maître provincial d’Austrasie-Alsace
R.F. Pierre CO – Assistant Grand Maître Provincial d’Honneur de Neuilly-Bineau
T.R.F. Jean Charles DA – Ancien Assistant Grand Maître de la G.L.N.F.
T.R.F. Yves DO – Député Grand Maître d’Honneur
T.R.F. Lionel FO – Ancien Grand Maître Provincial Austrasie-Champagne-Ardennes
R.F. Patrick GE – Grand Directeur des Cérémonies
R.F. Yonnel GH– Ancien VM de la Loge Nationale d’Instruction « Jean de Turckheim » (RER)
T.R.F. Jean-Pierre GO – Ancien Grand Maître Provincial d’Aquitaine
R.F. Christian HE –Grand Expert –Président de la Commission de l’éthique
T.R.F. Gérard IC – Grand Inspecteur
R.F. Michel JA – Grand Expert
T.R.F. Alain JU – Grand Inspecteur
R.F. René LO – Grand Intendant
T.R.F. Jacques MA – Ancien Grand Inspecteur Chargé de l’Immobilier
T.R.F. Patrick ME – Passé Grand Inspecteur – Ancien Grand Porte-Glaive
T.R.F. Jean Paul PE – Ancien Grand Maître Provincial de Neustrie et de Paris-Grande Arche
R.F. Pascal PE – Assistant Grand Maître Provincial d’Honneur de Paris-Grande Arche
T.R.F. Claude PE- Assistant Grand Maître Provincial d’Honneur de Paris- Grande Arche
R.F. Jean-Jacques PI – Assistant Grand Maître Provincial de Lutèce
T.R.F. Jean-Christian RA - Ancien Député Grand Maître Provincial Alpes- Méditerranée – Ancien VM de la Loge Nationale d’Instruction pour le R.E.A.A.
T.R.F. Jean Pierre SE – Ancien Grand Orateur
T.R.F. Henri SU – Grand Inspecteur d’Honneur
T.R.F. Philippe TH –Grand Inspecteur d’Honneur
T.R.F. Jean Claude TR – Grand Inspecteur
T.R.F. Claude VA – Assistant Grand Maître
T.R.F. Jean Pierre VO – Ancien Grand Maître Provincial de La Porte des Alpes
T.R.F. François DE VR – Ancien Grand Maître Provincial de Bourgogne
T.R.F. René YO – Ancien Grand Maître Provincial Neustrie
Vous trouverez dans cette liste, un nom stabilotté en jaune…
Il s’agit d’un Frère qui, dit-on, au départ était animé des meilleures intentions, et voulait servir l’opposition. Mais, au bout d’un certain temps, il a fait le constat que ce qu’il estimait être ses compétences n’étaient pas utilisées au mieux, et qu’il en avait assez d’attendre des fonctions et honneurs qui ne venaient pas…
Sa conclusion ne s’est pas faite attendre : indépendamment des commentaires qu’il dépose entre quelques grossièretés sur le blog parisien qui défend le perturbateur indécent, on le retrouve sur le document suivant, que je reproduis et dont je détiens l’original :
A La Gloire du Grand Architecte de l’Univers
Sous les Auspices de la Grande Loge Nationale Française
Grande Loge Provinciale de Paris
décret n°709 du 6 décembre 5986
Grand Maître Provincial le T.’.R.’.F.’. Sébastien Du.
Ordonnance n°370
Nous, Sébastien DU., Grand Maître Provincial de la Province de Paris,
Vu l’Ordonnance n°1438 prise par le Grand Maître de la Grande Loge Nationale Française en date du 11/07/2011 nous nommant en qualité de Grand Maître de la Province de Paris,
Vu l’article 17.2§1 du Règlement intérieur de la GLNF, précisant la composition du Conseil Disciplinaire Provincial, composés de membres de droit et de membre suppléants
Confirmons, la composition du CDP comme étant la suivante :
Le TRF Etienne LA., DGMP, président du Conseil Disciplinaire Provincial
Le TVF Armel MO., 1er GSP, membre
Le TVF Roger AS., 2ème GSP, membre
Le RF Michel LE RI., GHP, membre
Le RF Cedric RO., en qualité de GSP, AGMP
Le RF Yonnel GH., AGMP, en qualité de membre suppléant
Notification officielle de la présente Ordonnance sera faite à toutes le Respectables Loges de la Province de Paris par les soins du Grand Secrétaire Provincial.
Rendue par Nous, Grand Maître Provincial, signée de notre main et revêtue du Grand Sceau.
Pour Ampilation,
Fait à Paris, le 7 février 2012
Cédric RO. Sébastien Du.
AGMP, en charge de l’Administration Grand Maître Provincial
Voila. Vous avez vus. Vous avez les preuves sous les yeux, vous savez, une fois de plus, qui est qui. Vous avez sous les yeux ce qu’a fait cette gouvernance de personnes, faibles, et cherchant les honneurs, tout en étant privés de conscience... Vous avez le résultat, le résultat humain, et le résultat pour notre obédience…
Vous en tirerez librement vos conclusions…