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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 16:55

Il y a 8 jours, j’avais tendu la main à François Stifani, pour lui montrer que les griefs à son encontre étaient très nombreux, mais que néanmoins, nous pouvions entre FF responsables tenter d’aplanir et de régler nos différents, pour le bien de la GLNF.

Bafouant à nouveau sa fonction, il n’a pas prit  en considération cette offre de conciliation tentant de régler par le dialogue et la compréhension nos conflits, et a préféré continuer de suspendre ca et là des FF émérites, notamment un Frère de 81 ans, ayant 40 années de maçonnerie. François Stifani, tire à vue, François Stifani tire sur tout ce qui bouge…

Francois Stifani, ubuesque, ressemble à tout, sauf à un Franc-maçon…

 

Dès lors, n’ayant plus aucun devoir de réserve, pas plus que la moindre illusion sur la capacité fraternelle de  cet homme, comme je le lui avais annoncé, je publie en Lettre Ouverte le courrier que je lui avais adressé, et me prépare à le marquer, en compagnie de mes FF partout où il sera… Voici donc la première correspondance :  

 

LETTRE OUVERTE AU GRAND MAITRE DE LA G.’.L.’.N.’.F.’.    

 

URGENT    

                                                                                                          Le 7 février 2010    

 

Les prophètes d’Israël que l’on peut lire dans le V.’.L.’.S.’., indiquent que dans les temps messianiques, le monde subira l’inversion des valeurs : ce qui est sacré, deviendra profane, et à l’inverse, ce qui est profane deviendra sacré.

Nul besoin d’être grand érudit, pour constater que nous vivons déjà cela dans le monde ambiant.

Ce qui est plus inattendu, c’est que nous ayons aussi à subir cela au sein de NOTRE G.’.L.’.N.’.F.’..  

En effet, le constat de la situation présente, montre que l’actuel Grand Maître, mais aussi ses deux derniers prédécesseurs dans une moindre mesure, auront donc réussi à détruire l’esprit de ce temple spirituel que tant de générations de nos anciens avaient construit…    

Ainsi, pour qui connaît le sens de la démarche initiatique, chacun peut comprendre qu’un homme, fût-il F.’., et fût-il même G.’.M.’., qui s’auto proclame « guide spirituel », n’a rien à faire en F.’.M.’. régulière, et que ces propos ne sont  pas sans rappeler ceux des chefs de la secte intitulée « Ordre du Temple Solaire »…    

De même, les cherchants réunis dans la seule obédience régulière  française, sont en droit d’être représentés par un Grand Maître qui a, sinon une quête initiatique ou une démarche spirituelle, un minimum de « Tenue », voire, un minimum de bonne éducation et de pudeur.    

Or nous apprenons, par la relation qu’à faite l’un de nos FF.’. Maître Maçon du Rite Ecossais Ancien et Accepté et membre de la R.’.L.’. Les Persévérants Ecossais à l’O.’. de Tours, qu’à l’occasion de la Tenue d’Installation irrégulière du malheureux G.’.M.’.P.’. d’opérette de la Province du Val-de-Loire, lequel, rappelons-le n’a tenu qu’a peine trois semaines avant d’être dissout avec sa province, vous auriez, G.’.M.’., tenu ce propos :

« Certains me qualifient de nain pervers. Je mesure 1.65m, je ne suis donc pas un nain. Quant à être pervers, ma femme aimerait bien que je le sois un peu plus car au bout de 20 années de mariage…»  Notre F.’. ajoutait même qu’il passait les détails assortis à cette déclaration…    

Je ne m’attarderai pas sur les mérites de l’argumentation consistant à faire état de votre (petite) taille sous  forme de moquerie cruelle, ce qui est effectivement tout à fait déplacé ; je  reconnais volontiers cela au nom de l’objectivité. Ce n’est pas votre physique qui est à vous reprocher, loin de là, mais votre action et votre vision à la tête de la G.’.L.’.N.’.F.’..

De même, je condamne toutes les attaques infâmes qui ont été lancées contre votre personne ou celle de vos Grands Officiers, voire même contre vos simples supporters, ayant pour thème le physique , ou recourant à des noms d’animaux, ou faisant un parallèle avec la période de la Shoa. La présence de leurs auteurs en Maç.’. me laisse dubitatif. L’inverse est d’ailleurs aussi vrai,  car les propos indignes tenus à l’encontre des TT.’.RR.’.FF.’. Seiler, ou Perrin ne sont véritablement pas celles d’Initiés…    

Par contre, je voudrais ici plaindre la malheureuse Madame Stifani, car, oubliant que vous présidiez un Espace Temps Sacré, vous avez tenu de vulgaires propos de salle de garde, ou de café du commerce entre beaufs avinés…A moins que vous ayez eu déjà conscience d’agir en toute irrégularité ?    

Ce doit être une grande souffrance pour Madame Stifani que de voir son mari livrer en assemblée ses scabreux secrets d’alcôves, si toutefois elle a tenu ce genre de réflexion… Quoi qu’il en soit, puisque vous-même avez ainsi avoué que votre épouse vous tenait pour être peu imaginatif et performant à l’horizontale, je veux affirmer ici, ma conviction qu’à la verticale vous laissez aussi nettement à désirer !    

Et en tout cas, ce n’est pas digne d’un  chef de l’Ordre, car tout comme Mme Stifani, pour son mari, nous sommes à la G.’.L.’.N.’.F.’., en droit d’attendre que notre Grand Maître soit aussi un gentleman…    

Jamais dans l’histoire de la Maç.’. française, un G.’.M.’. ne s’était conduit de la sorte !   

Jamais dans l’histoire de la Maç en général, un G.’.M’. a fait appel à des milices, pour présider des tenues. Officier en Tenue à l’ombre de vigiles, voila où nous en sommes …Beau tableau !

Imaginer dans un pays démocratique tel que la France, que les FF.’. entrant en tenue, doivent montrer leur identité à des vigiles profanes qui, en fonction d’une liste de nom de proscrits, leur donnent – ou pas – l’accès au Temple !?... Est-ce acceptable ? Est-ce là le Tuilage que vous avez inventé ?    

Vous le voyez, G.’.M.’., les griefs de fond sont nombreux, et je suis aussi direct, franc que sans concession. C’est ma liberté de vous dire ce que j’ai sur le cœur, et c’est ainsi que se parlent deux FF.’..    

Sachez aussi que je ne suis pas mandaté par les FF.’. qui essayèrent de présenter leur doléances, lesquelles étaient bien plus nombreuses et détaillées que les miennes,  le 4 décembre 2009, au Souverain Grand Comité. Je ne connais même pas la plupart de ces FF.’,!    

Je précise que je ne représente personne d’autre que moi, que je n’ai rien à voir, au moment ou j’écris ces mots, ni avec le F.M.R., ni avec la malheureuse Province du Val-de-Loire, qui suscite pourtant toute ma sympathie. Mais qui sait de quoi demain pourrait être fait ?    

Non, je ne suis qu’un ancien V.’.M.’., qui n’est mû par aucune ambition, et qui ne représente personne d’autre que lui-même. Mais initié à 25 ans, et maçon depuis 25 ans aussi, élu trois fois V.’.M.’. de différentes LL.’., je me sens investi d’une légitimité qui me donne une parole au moins aussi crédible que celle de bien d’autres, auprès du G.’.M.’.    

Croyez bien que je suis affligé de devoir me lever, après tant d’années de maç.’., après avoir littéralement grandi au sein de la G.’.L.’.N.’.F.’. où j’ai eu le plaisir et l’honneur de présider plusieurs ateliers, autrement dit, après avoir été élu par mes FF.’. à plusieurs reprises, et de devoir dire a celui qui occupe la fonction de G.’.M.’. : non, vous faites fausse route, ce que vous faites est inacceptable, vous êtes en train de tout à la fois scier la branche sur laquelle vous êtes assis, et de détruire notre maison.    

Je n’aurais jamais imaginé cela. Je n’aurais jamais imaginé, moi qui suis la troisième génération de maçon dans ma famille, de devoir prendre la parole pour contester l’action d’un Grand Maître, parce que ma conscience et mon honneur  de maçon me le commandent.    

Grand Maître, vous pouvez encore achever votre mandat en sauvant ce qui peut l’être. Entendez d’autres FF.’. que ceux qui viennent vous flatter et vous rassurer, espérant en retour vos bonnes grâces…    

Annulez, je vous en conjure, les différentes suspensions de FF.’. et dissolution de Province. Cela n’a aucun sens dans un Ordre qui se veut Centre d’Union permanente.

Comment se pourrait-t-il que dans notre fraternité, on ne puisse rien se dire sans risquer d’être sanctionné, démis voir radié ? Si il est impossible de débattre au sein du Souverain Grand Comité, alors, où est-ce possible ?    

C’est la raison, pour laquelle, j’adjure le G.’.M.’. de reprendre l’initiative, de tendre la main à ses détracteurs, de les recevoir et de les écouter fraternellement, afin qu’un dialogue constructif puisse s’établir en dehors de toute violence.

C’est la seule façon de restaurer un climat de confiance, de sérénité et de dialogue entre TOUS nos frères de la G.’.L.’.N.’.F.’..

Ne vous enfermez pas , je vous en prie, dans une logique destructrice, qui finira par vous broyer aussi.    

Car on ne discute pas sous la menace de sanctions (dissolution, suspensions, mises en sommeil, radiations). De même, vous ne pouvez prétendre établir un dialogue en demandant aux F.’. ainsi indûment sanctionnés de présenter des regrets préalablement à toute réintégration !    

G.’.M.’., vous l’avez dis vous-même, le pardon n’est pas une vertu absente de l’esprit maçonnique. Si vous avez pris sur vous d’accorder le pardon et de réintégrer en notre sein un F.’. qui en avait été chassé en raison de ses nombreux démêlés avec la justice profane, à plus forte raison, vous aurez a cœur de rétablir des FF.’. distingués, qui eux, n’ont jamais eu à rougir de leurs faits et gestes, et n’ont jamais subit aucune condamnations infâmantes…    

Rien n’est jamais définitif. Ce qui a été cassé hier, peut se réparer aujourd’hui. Certains seraient certainement prêts à vous y aider. C’est notre devoir à tous de rassembler ce qui est épars.    

Grand Maître, vous serez certainement d’accord pour admettre, que la vocation d’un G.’.M.’. de la G.’.L.’.N.’.F.’. n’est pas de remplir les autres obédiences avec les milliers de FF.’. que vous chassez par vos décisions. Ces obédiences, hilares, n’en demandaient d’ailleurs pas tant…    

De même, il ne vous a certainement pas échappé, que les FF.’. qui contestent votre gestion n’ont pas le désir de quitter la G.’.L.’.N.’.F.’., ni de fonder une obédience concurrente.

Non, ils sont attachés à notre Ordre, et à son esprit, ils ne veulent en aucun cas lui nuire de l’extérieur. C’est une donnée importante à mes yeux, dont vous ne pouvez pas faire l’économie.    

Vous avez aujourd’hui, G.’.M.’., la possibilité de choisir entre la bonne décision, et la mauvaise. Entre le Bien et le Mal. Entre l’intérêt de la G.’.L.’.N.’.F.’., ou la satisfaction d’une rancœur que je veux croire passagère.

C’est sur cela que vous serez jugé, car il ne sera pas possible, plus tard, de dire que vous ne saviez pas…    

En fonction de cette demande, prendront position ceux qui composent la majorité silencieuse, dans toutes les provinces de France, et dont je fais partie.    

J’espère que vous saurez prendre la bonne décision, celle qui protègera l’intégrité de notre Ordre, comme de notre obédience, et qui permettra à tous nos FF.’. de s’asseoir à la même table et de s’expliquer, sans haine et sans exclusive.

Entre FF.’., il n’est pas de différent qui ne puisse se surmonter.    

Vous ne pouvez pas sereinement accepter qu’à l’issue de votre mandat, vous soyez le seul Grand Maître à laisser l’obédience dans un état bien plus mauvais que lorsque vous en avez reçu la gestion.    

Vous ne pouvez pas laisser la G.’.L.’.N.’.F.’. amputée d’une ou plusieurs provinces, et de plusieurs milliers de Frères. Cela serait pour vous, une tache pour la vie !

Au-delà de l’échec moral que cela constituerait, vous n’ignorez pas qu’une pareille hémorragie pourrait aussi mettre en péril l’équilibre financier actuel.

Et puis, comment feriez vous pour justifier, après un tel bilan en trois ans, de prolonger votre mandat deux ans de plus ?    

Pour ma part, je me persuade que les positions des uns et des autres, ne sont pas forcément inconciliables. Si chacun fait un effort, par le dialogue, l’Union peut à  nouveau être la règle entre nous. Nous pouvons, de part et d’autre, surmonter nos reproches réciproques.    

Je vous prie, G.’.M.’., de bien vouloir considérer cette lettre comme une main tendue, au-delà de la déception, de la blessure et de la colère que vous avez pu provoquer en moi, afin que raison revienne dans toutes les parties de la G.’.L.’.N.’.F.’..    

J’ai l’espoir que vous ne la refuserez pas avec mépris, car elle est aussi franche que sincère.   

Je vous prie, Grand Maître, de bien vouloir agréer l’expression de mes Fraternelles Salutations.    

Que la joie soit dans nos Cœurs !    

Fidèle d’Amour  

 

P.S. :    

- Compte tenu de mon désir de demeurer membre de la G.’.L.’.N.’.F.’. le plus longtemps possible, et puisque vous avez vous-même fait la publicité de vos portes paroles que sont les Acacia dans une brochure que j’ai reçu, ceux-ci signant de leur pseudo, je prends la liberté, comme eux, de signer avec un pseudo.

En effet, jusqu’à présent, il s’avère que tous ceux qui vous ont manifesté leur opposition à vos vues se sont fait exclure d’une façon ou d’une autre de la G.’.L.’.N.’.F.’. J’aimerais éviter cette mésaventure autant que possible. A défaut, vous exclurez un F.’. de plus…

Par contre, si vous acceptez personnellement de me répondre de manière positive, alors, je vous donnerai toutes mes coordonnées afin que vous puissiez m’identifier en mes grades et qualités, et  pouvoir ainsi envisager sereinement les termes d’une action de reconstruction.    

- J’attends de votre part, une réponse dans un délai d’une semaine, faute de quoi, il me faudra bien prendre acte de votre fin de non recevoir et en tirer les conséquences. Dès lors, ce courrier perdra sa confidentialité, deviendra lettre ouverte, et pourra être versé dans les différents débats.

 

 

 

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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 15:12

Un blog Myosotis pour la Province du Dauphiné – Savoie !!!  Enfin !

Tant de FF l’espéraient, ils ont maintenant l’instrument qui leur est nécessaire pour vider leur cœur, et pour confronter – dans le respect – leurs opinions au sujet de la grave crise que traverse aujourd’hui la GLNF, et au sujet de ce qu’il convient de faire de François Stifani qui détruit systématiquement non seulement l’esprit de notre Obédience, mais aussi celui de notre Ordre.

 

Il est évident que pas un FF, quelle que soit son Obédience, n’accepte qu’une tenue soit ouverte avec la présence de vigiles pour « protéger » un GM !

C’est pourtant le cas, à la GLNF, où François Stifani ne se montre en Loge qu’entouré de vigiles… Il doit savoir pourquoi…

Vigiles qui sont payés avec nos cotisations, ce qui constitue un abus de bien social, puisque rien dans sa fonction, ne justifie la présence d’une milice privée…

 

Nous tous, Maçons réguliers, respectueux des Landmarks, de la Règle en Douze points que François Stifani à elle aussi modifiée arbitrairement, sommes en droit d’avoir un GM digne de l’héritage pur et sans tâche que nos anciens nous ont transmis.

Nous sommes en droit d’avoir un GM dans la lignée des grands prédécesseurs de celui-là, qu’étaient, les TRF de Ribaucourt, Van Ecke, Derosière, Jean Mons, et André Roux.

Stifani, doit comprendre qu’il ne suffit pas de se parer de leurs habits et tablier de GM… Ce n’est pas la même taille !....

 

Nous souhaitons aussi poser des questions – et obtenir à la fois réponses et audit -  sur la manière opaque dont sont gérées les finances de NOTRE GLNF.

 

Nous souhaitons que dorénavant, le GM qui qu’il soit, s’abstienne de toute intervention autre que du domaine spirituel, et s’abstienne de toute prise de position politique, et cesse de faire rentrer les caméras dans les loges ou elles n’ont rien à y faire, et où elles y perturbent le travail…

 

Nous voulons aussi mener une concertation afin de redéfinir le rôle du Souverain Grand Comité, dont la fonction a été dévoyée par François Stifani, et par les hommes qu’il y a nommé, à sa dévotion.

 

xxx

 

L’esprit et le but de ce blog, sont dans l’exacte pensée du GMP de cette belle Grande Loge Provinciale Dauphiné-Savoie, qui, il y a quelque temps, était déjà très critique sur les errements des prédécesseurs de François Stifani.

Dès lors, nous espérons qu’il sera conséquent avec lui-même, et soutiendra notre action libératrice.

Conscient de ce que cela doit représenter comme renoncement pour lui, nous lui rappelons la solidarité qu’il devrait avoir avec les dizaines de GMP renvoyés sans explication par le frère de la côte Stifani, et que, pour son honneur et sa réputation, il vaut mieux qu’il parte de son propre et libre choix, plutôt que d’être remercié sans aucune explication, comme c’est l’usage  Stifanien…

 

Dès lors, il sera le bienvenu parmi nous, s’il le souhaite.

 

Nous ne souhaitons pas longue vie à ce blog. Car sa fin, signifiera que nous auront gagné, et qu’il n’a plus sa raison d’être. Que cela advienne donc le plus vite possible.

 

En attendant, il sera un espace de liberté dans lequel tous, je dis bien tous, pourront s’exprimer dans le cadre du respect qui est dû aux uns et aux autres, quelles que soient leurs opinions, dès lors, qu’elles sont le reflet de l’éthique maçonnique.

 

Fidèle d’Amour

 

 

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Présentation

  • : Le Myosotis du Dauphiné Savoie - Le Blog des Fidèles d'Amour -
  • : Tribune créée dans un premier temps pour véhiculer un combat en faveur de valeurs éthiques et morales au sein de la Franc-Maçonnerie de Tradition. Désormais, ayant contribué au succès de cet objectif, elle se consacre à la défense de celles-ci. Par ailleurs, seront présentés des articles reflétant études, lectures, engagements, et sympathies.
  • Contact

Référence et remerciements:

 

Par arrêt en date du 20 mai 2015, la cour d’appel de Paris a confirmé le jugement rendu le 6 mai 2014 par la chambre de la presse du tribunal de grande instance qui m'a déclaré coupable de diffamation publique envers François Stifani et Sébastien Dulac, à raison de la diffusion d’un message diffusé le 22 septembre 2010 sur le blog le myosotis-dauphine.savoie.over-blog.com. Je considère cet évènement comme l'attribution d'une Légion d'Honneur.

Merci aux soeurs et frères très nombreux qui m'ont soutenu dans ce combat de cinq années dont je m'honore, et dont je ne regrette rien.

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